Je n’ai assisté qu’à la balade poétique de Titi Robin. J’ai regretté qu’il n’ait pas de micro et qu’il ne fasse pas de pauses musicales . Mal placée j’entendais mal et pour avoir assisté à sa lecture le lendemain de « l’ombre d’une source », j’ai trouvé que ces deux moments étaient très différents l’un de l’autre préférant ô combien le deuxième. Je ne connaissais pas ce « musicien-poète » ( depuis j’ai appris qu’il était aussi un excellent guitariste) mais à le voir jouer du buzuq avec une telle intensité , il m’a semblé qu’il était difficile pour un tel musicien de n’être qu’un lecteur de ses textes. A plusieurs reprises il a dit que les deux étaient indissociables chez lui. C’était tellement évident ce jour-là ! De plus le micro l’aidait à rendre la lecture de ses textes beaucoup plus vivante . Il a une belle voix mais qui pour moi ne passe pas bien sans micro d’autant qu’il ne recherche pas d’effets redoutant le jeu des comédiens qui pour lui ont tendance à en faire trop . Quant aux textes de « l’ombre d’une source » , j’en suis encore toute troublée …….
Elisabeth Thomas-Loridan
Je n’ai assisté qu’à la balade poétique de Titi Robin. J’ai regretté qu’il n’ait pas de micro et qu’il ne fasse pas de pauses musicales . Mal placée j’entendais mal et pour avoir assisté à sa lecture le lendemain de « l’ombre d’une source », j’ai trouvé que ces deux moments étaient très différents l’un de l’autre préférant ô combien le deuxième. Je ne connaissais pas ce « musicien-poète » ( depuis j’ai appris qu’il était aussi un excellent guitariste) mais à le voir jouer du buzuq avec une telle intensité , il m’a semblé qu’il était difficile pour un tel musicien de n’être qu’un lecteur de ses textes. A plusieurs reprises il a dit que les deux étaient indissociables chez lui. C’était tellement évident ce jour-là ! De plus le micro l’aidait à rendre la lecture de ses textes beaucoup plus vivante . Il a une belle voix mais qui pour moi ne passe pas bien sans micro d’autant qu’il ne recherche pas d’effets redoutant le jeu des comédiens qui pour lui ont tendance à en faire trop . Quant aux textes de « l’ombre d’une source » , j’en suis encore toute troublée …….
Elisabeth Thomas-Loridan