Tout d’abord un salut amical « à mes compagnons de route ». Pendant quelques jours nous avons été un groupe qui Ensemble a travaillé pour essayer de donner le meilleur de nous-mêmes partageant avec beaucoup de simplicité le goût des mots, des idées et puis ensuite le plaisir d’être face à un public de qualité. Ler répétitions ne furent pas faciles mais nous avons su me semble-t-il nous écouter et accompagner les uns et les autres dans leur cheminement. Pour ma part j’ai été très heureuse de dire deux textes auxquels je tenais, l’un parce que je l’avais écrit et qu’il me reliait au désert , « au Pays des Sables » , univers qui continue à me faire rêver ayant écrit récemment une nouvelle sur le désert de Takla-Makan et l’autre malheureusement dont je n’étais pas l’auteur (e ?) mais qui « signe » mon engagement face aux désastres engendrés par les Guerres. C’est un texte très fort ( je n’en ai dit qu’un très court extrait) qui se termine sur une note d’espoir . Le rêve de voir se « lever » l’armée des faibles « debouts sur tous les horizons du monde ». Alors merci aux organisateurs du festival de m’avoir donné ce petit temps de parole pour me mettre encore une fois au service de ce texte.
Merci à Claire ( son rôle a été déterminant dans la réussite de cette lecture), merci à Philippe dont les indications étaient le plus souvent justes,je dis bien « le plus souvent »……et merci à ceux qui s’occupaient de la sono avec une discrétion exemplaire et qui nous ont ainsi apporté une aide précieuse. Et merci au public d’avoir été aussi
attentif et d’avoir su nous faire des retours avec beacoup de gentillesse et de sincérité.
Elisabeth Thomas-Loridan
Tout d’abord un salut amical « à mes compagnons de route ». Pendant quelques jours nous avons été un groupe qui Ensemble a travaillé pour essayer de donner le meilleur de nous-mêmes partageant avec beaucoup de simplicité le goût des mots, des idées et puis ensuite le plaisir d’être face à un public de qualité. Ler répétitions ne furent pas faciles mais nous avons su me semble-t-il nous écouter et accompagner les uns et les autres dans leur cheminement. Pour ma part j’ai été très heureuse de dire deux textes auxquels je tenais, l’un parce que je l’avais écrit et qu’il me reliait au désert , « au Pays des Sables » , univers qui continue à me faire rêver ayant écrit récemment une nouvelle sur le désert de Takla-Makan et l’autre malheureusement dont je n’étais pas l’auteur (e ?) mais qui « signe » mon engagement face aux désastres engendrés par les Guerres. C’est un texte très fort ( je n’en ai dit qu’un très court extrait) qui se termine sur une note d’espoir . Le rêve de voir se « lever » l’armée des faibles « debouts sur tous les horizons du monde ». Alors merci aux organisateurs du festival de m’avoir donné ce petit temps de parole pour me mettre encore une fois au service de ce texte.
Merci à Claire ( son rôle a été déterminant dans la réussite de cette lecture), merci à Philippe dont les indications étaient le plus souvent justes,je dis bien « le plus souvent »……et merci à ceux qui s’occupaient de la sono avec une discrétion exemplaire et qui nous ont ainsi apporté une aide précieuse. Et merci au public d’avoir été aussi
attentif et d’avoir su nous faire des retours avec beacoup de gentillesse et de sincérité.
Elisabeth Thomas-Loridan