« Plongée dans un clair-obscur aux accents picturaux »
Un rouge éclatant, dessinait son sourire.
C’est alors qu’elle prit mon regard
Là, était la vaillance de ses audaces.
Alors, comme un hymne à la vie
Je l’ai prise dans mes bras,
J’ai caressé son visage.
Quand les pensées s’apaisent seul l’imaginaire
Invite à réinventer l’absolu,
Unique refuge.
Au martyre d’une idéologie radicale
Le jour du reste d’une vie,
Choisie au hasard
À l’écho de voix qui témoignent…
Rendre justice à l’image
Là où sévit la douleur de l’absence
Où le regard se perd…
Nul besoin d’élever le ton
D’un souffle balayer la haine,
Faire le deuil, en oublier jusqu’à l’image
D’un rire qui raye le verre…
Se savoir mortel par hasard… ou invisible.
Xavier Pierre 2018
Ce poème évoque en moi le tableau de Klimt ´Le baiser ‘ , le réconfort d’être deux, la tendresse …..pour ėloigner la peur. Cette sincérité me touche.
Merci pour ce poème plein d’émotion et de sensualité, et dans lequel les mots se font également l’écho des douleurs et des craintes universelles.
Très beau !