La 8ème édition de la « Houle des mots », dédiée à notre ami Gérard Moleins.

Chère Presqu’île en poésie
C’est avec beaucoup d’émotion que j’ai assisté à l’inauguration du Festival 2025, l’hommage rendu à Gérard était tout simplement beau, juste et chaleureux. Lui dédier cette 8ème édition est un grand honneur qui m’a touchée au coeur, qui aurait touché et fait pleurer Gérard, tout autant que ses enfants que j’ai informés de cet hommage.
C’est vrai que Gérard participait dès qu’il le pouvait à la logistique du festival, et lui et moi aimions nous arrêter à écouter ces envolées poétiques si souvent poignantes , trop poignantes même parfois, à l’image des jeunes femmes poètes de l’an dernier comme Suzanne R.Balet qui l’avait bouleversé.
Et que dire des Apéros Poétiques précieusement reportés sur nos agendas pour n’en rater aucun si possible. Il aimait l’ambiance, les accords de guitare .
Le talent de Dominique M, Michèle P , Yvonne R…et les autres lui ont fait prendre conscience de la portée de leurs écrits au point de s’y mettre parfois lui aussi, modestement mais avec application. Les félicitions d’Yvonne sur une de ses compositions lui avait fait très très plaisir.
Merci infiniment à Jean-Pierre et à toute l’équipe du Festival .
Sincèrement,
Marie-laure

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Une réponse à La 8ème édition de la « Houle des mots », dédiée à notre ami Gérard Moleins.

  1. Yvonne Le Meur-Rollet dit :

    • Merci Jean- Yves d’avoir fait remonter sur le site, en tête des publications, le message émouvant de Marie-laure.
    • Je n’ai pas pu être présente au moment de l’hommage à Gérard le jour de l’inauguration du festival et je le regrette profondément. Je voudrais juste rappeler à tous ceux qui étaient présents à notre apéro poétique un soir du printemps dernier, son dernier printemps, combien j’avais été bouleversée par la présentation qu’il avait faite du texte de la chanson québécoise « Quand les hommes vivront d’amour » écrite par le poète et parolier Raymond Lévesque.
    • J’entends encore la voix poignante de Gérard chantant « Quand les hommes vivront d’amour/ il n’y aura plus de misère/, les soldats seront troubadours/ mais nous ; nous serons morts, mon frère ».
    Et c’est comme si Gérard nous avait dit adieu à travers ce texte empreint d’humanisme et de pacifisme, deux valeurs qui lui allaient si bien.

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