Nous ne dirons rien lorsque le bonheur bousculera nos lèvres et ordonnera nos désirs
Nous saurons attendre la lumière grasse qui descend la fenêtre, la tempête digitale des mots doux et la danse des abeilles
Je prendrai le temps de ton regard et nous ferons un nouvel équipage pour les longs courriers de la tendresse
À la lisière du temps nous serons les sorciers de l’aube.

Guy Prigent, avril 2018

Poème en cadeau

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *