3 août – Inauguration du festival

Sous l’œil de © Marianne Frank

Sous l’œil de © Wilfrid Serizay

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3 août – Hommage à Delphine

Sous l’œil de © Marianne Frank

Sous l’œil de © Wilfrid Serizay

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3 août – Yoga poétique

Sous l’œil de © Marianne Frank

Sous l’œil de © Wilfrid Serizay

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3 août – Café poétique avec Jean Sanquer

Sous l’œil de © Marianne Frank

Sous l’œil de © Wilfrid Serizay

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Prose scandinave

Au café poétique, Marc Bataille nous a offert une prose inspirée d’une expérience scandinave …

Nous avons beaucoup ri !

Voici son texte :

Pour ceux qui s’en souviennent, j’avais présenté, l’année dernière, mon coup de cœur : « l’ABC du bricolage » et je vous en avais fait la critique. J’avais promis de vous parler cette fois d’un autre ouvrage qui me tient à cœur, où cette fois, il n’y a plus de texte, rien que des dessins, Et c’est le grand recueil des notices de montage IKEA.

Là, il ne s’agit plus de roman ou d’essai, de BD ou de biographie… mais d’un genre tout-à-fait nouveau d’expression écrite, inclassable, résolument moderne, qui emprunte à notre bon vieil ABC du bricolage et autres docs techniques, les illustrations en les simplifiant à outrance et utilise pour en accélérer le rythme, des codes bien particuliers, sans se plier au langage conventionnel.

Je prend un exemple parmi les documents que j’ai apporté : …………

Voici une page dont la schématisation permet une lecture plus riche, plus complète, plus rapide,plus sure……….…. La compréhensibilité se manifeste aussitôt, sans avoir besoin de verbaliser, c’est toute la richesse du procédé.

Il s’agit là de toute évidence d’un nouveau courant littéraire basé sur l’efficacité technologique. .D’aucuns l’ont déjà baptisé le «techno-cubisme » en référence au courant de la peinture dont il emprunte la rhétorique. C’est le cubisme littéraire, IKEA serait en quelque sorte le Picasso de la littérature..

Mais oui, – je sais que c’est osé mais j’assume…-

 

 

 

 

 

Mais déjà quelques dissidents ont quitté le mouvement qu’ils trouvaient un peu mou. Ils ont poussé à son paroxysme le dépouillement de l’écriture ne conservant que la symbolique. Ce sont les néo-techno-cubistes ; on y trouve LEGO, CASTO, BRICO,

Un exemple :

Je vous montre une page, que voyez vous ?……….rien ?

Eh bien il va falloir vous y faire. Moi, je vois « prenez votre perceuse et forez un trou de 8 ». J’explique… c’est bien simple et évident : le trait vertical, rattaché à rien, c’est l’homme dans toute sa splendeur transcendantale, et c et homme c’est vous car l’auteur s’adresse directement au lecteur, rien n’étant précisé pour envisager une autre hypothèse : il est fort, il est stable, mouvement renforcé par la présence d’un autre symbole figuratif ……… à droite de l’homme. C’est une croix tronquée, dont les extrémités pointent vers la droite et vers le bas et qui prend le sens d’une poussée en avant pour la partie horizontale et pour la partie verticale, ce pourrait être une marque d’arrêt, mais étant reliée à la partie horizontale, ce n’est donc pas le cas. Serait ce une forme figurative ? Là, il faut revenir aux bases du bricolage pour comprendre qu’il ne peut s’agir que d’une perceuse avec son foret. On lit donc « prenez votre perceuse et forez un trou. Et comme la dimension du foret n’est pas précisée, on doit prendre la cote par défaut ; c’est donc du 8 !

Epoustouflant, lumineux, non ? Quelle simplification !

Dans un monde changeant rapidement, inventif, technologique, je suis certain du succès du néo-techno-cubisme. Vous avez devant les yeux le futur qui se dessine.

L’apogée du néo-techno-cubisme, ?

eh bien …….. c’est la page blanche ! dont je vous parlerai la prochaine fois.

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Remise des prix du Comice poétique

Le 4 août, 2è journée du festival, 11h30 à la Maison de la Mer,  la présidente du jury, Yvonne Le Meur-Rollet a remis les prix du Comice poétique.

Je cite ci-dessous les propos :

« Nous allons procéder à la remise des prix du Comice poétique 2018, le 1er concours de poésie organisé par notre association Presqu’île en poésie. Pour ce concours, que nous avons annoncé au cours de nos apéros poétiques mensuels, annonces répétées sur le site, ainsi que par des articles parus dans la presse locale Le Petit Bleu, Le Télégramme, et Ouest-France, nous avons reçu une quinzaine de poèmes, tous dans la catégorie adultes. Mais, malgré le nombre modeste de participants, nous avons été d’accord pour reconnaître que la qualité était au rendez-vous. Quand je dis nous, je parle du jury que j’ai l’honneur de présider cette année. Ce jury, composé de 9 personnes, toutes amateurs, lecteurs ou auteurs de poésie , s’est penché avec beaucoup de sérieux et d’intérêt sur les textes qui lui ont été soumis . Le choix des lauréats s’est fait à l’issue d’ un vote à bulletin secret. En tant que présidente, je me suis abstenue de voter. Après le dépouillement des votes, nous avons pu décerner un prix à chacun des trois textes qui ont obtenu le plus de voix. Le règlement demandait aux participants de présenter leurs textes de façon anonyme et, seule Claire, qui a été chargée du secrétariat, connaît l’identité des auteurs des textes primés.
Nous allons donc lui demander de venir nous dévoiler les noms des lauréats. »

Le 3e prix est attribué au texte « Peuples nomades » dont l’auteur est Maryvonne Goïc, de Bruz (35 170)

Le 2e prix est attribué au texte « Traversée » dont l’auteur est Annïck Carré, de Chartres de Bretagne ( 35 131)

Le 1er prix est attribué au texte « Rêve de nomade » dont l’auteur est Liliane Catoire-Lenglet, de Nevers (58 000)

Les lauréats sont appelés à tour de rôle pour recevoir leurs prix, des recueils de poésie et des CD offerts par les libraires et les auteurs présents sur le festival. Les poètes sont invités par la présidente à lire leurs textes devant l’assistance attentive et conquise qui les applaudit avec enthousiasme.

Puis la présidente du jury reprend :
« Je voudrais ajouter à l’intention de ceux qui n’ont pas fait partie des lauréats qu’ils n’ont pas pour autant démérité, que nous avons pris beaucoup de plaisir à découvrir leurs poèmes qui ont su toucher les jurés par leur musique, par leurs images et par les messages qu’ils ont fait passer.   Merci à tous de votre participation, merci de nous avoir surpris, charmés, émus, merci de continuer à écrire et à faire vivre la poésie ».

Sous l’œil de © Wilfrid Serizay

Sous l’œil de © Marianne Frank

 

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