Balade bretonne
Rappelle-toi les Ebihens
tous les quatre sur les chemins,
la vieille tour Vauban veillait…
sous le soleil qui pavoisait !
Les pieds nus sur le sable frais
l’été indien nous enivrait,
les flots, le ciel , unis , jouaient
à faire émerger les galets.
Nous ne pensions plus à demain
qu’importaient l’âge et ses chagrins,
gratifiés d’yeux de grands gamins
c’est fou comme nous étions bien !
Michèle Pettazzoni, 15 septembre 2016







